proverbiale pour désigner des femmes bien en chair, grasses et paresseuses plutôt que minces et solides. Ces femmes ont utilisé leur richesse et leur position pour opprimer « les indigents » et écraser « les pauvres » (v. 1). Ce court portrait, qui tient sur une ligne, est dévastateur : elles disent à leurs maris : « Apportez, et buvons ! » Voilà qui décrit des matrones gâtées, autoritaires, décadentes, soucieuses d’être toujours servies au lieu de servir, dominant leurs maris, noyant leur ennui