David a découvert une meilleure solution. Il parle, mais ses propos s’adressent à Dieu (v. 5s). Il se rend compte du caractère éphémère de la vie et conclut que, tout compte fait, la seule chose à faire est de mettre notre espérance dans le Seigneur (v. 8). Dieu seul peut nous sauver de nos transgressions et nous délivrer des pièges des adversaires (v. 10). Le silence résolu en face du mystère de la providence ne constitue pas un pas en avant (v. 10). C’est une mauvaise autodiscipline, c’est une