Le vrai problème n’est pas le refus divin de répondre, mais notre absence de foi et notre refus léthargique de demander. La deuxième parabole (v. 9-14) décrit un pharisien et un collecteur d’impôts (ou péager) qui montent au Temple pour prier. Pour certains relativistes modernes, cela signifie que Jésus accepte n’importe qui, qu’il persiste ou non dans son péché, dans ses mauvaises habitudes ou dans un style de vie répréhensible. Il ne rejetterait que les religieux hypocrites trop sûrs d’eux-mêmes.